«Pour l’observateur qui parcourt le territoire d’Antony, domine la perception d’une ville douce et verdoyante où les jardins, les arbres, la nature, s’invitent en permanence dans l’espace urbain.

Nous observons d’ailleurs à maints endroits une implication des riverains dans l’embellissement de leurs rues (fleurissement au droit des clôtures, en pied d’arbre…). Cette ‘complicité’ qui s’établit, à travers le végétal, entre espaces publics et pri­vés nous semble devoir être relevée pour mieux trouver son prolongement dans les projets neufs.

Le deuxième sujet est l’attachement des Antoniens au Parc de Sceaux, magnifique Parc-territoire, où se mêlent le patrimoine, la nature, mais aussi les pratiques liées au bien-être et à la santé. Parce qu’il est situé entre le Parc et le centre-ville, le futur quartier Jean Zay en formera une antichambre : dès lors il s’agira de permettre à ces nouveaux espaces urbains de résonner fortement avec les atmosphères du Parc.»